Oryon L. Adamovitch => Beluboa au fond du couloir! /terminée/

Feat : Seijuuro Akashi - Kuroko no basket

Nom ; Lenphernek Adamovitch Prénom ; Oryon Surnoms ; Carotte - le maudit - le bâtard (le bâtard de "la traitresse") - l'ermite - le gamin du fond du couloir - le "bizarre". Âge ; 18 ans et demi Date de naissance ; 27 mars 1893 Sexe ; Un homme Origines ; Il est russe du coté de son "père" et Sud-américain du coté de sa mère. Groupe ; Famille Adamovitch, du moins de nom. Pour la petite histoire, après la trahison de sa mère envers Eva Adamovitch  et sa mort(cf histoire), et quand même bien il fut "accepté" en temps qu'Adamovitch au sein de leur famille, ses origines directes restèrent secrètes, pour ne pas entacher encore une fois la réputation de Eva. On ne sait donc pas qui est son vrai parent parmi les Adamovitch. Eva était la seule à connaitre le nom de famille de la mère. Oryon fut confié à une gouvernante, avec la surveillance des ainés Adamovitch, qui restèrent néanmoins très distants. Rang ; Résident du manoir Orientation sexuelle ; Il n'en sait rien. Il n'a jamais eu à toucher un corps, et sa gouvernante vient de lui être ôté il y a peu. Il n'a pas encore d'esclaves ou de domestiques. Donc, il ignore ce qu'il aime hormis l'immense bibliothèque qu'est sa chambre. Il trouve le sexe primitif et surfait. Race ; Une chimère: Beluboa. Beluga et Boa constrictor imperator.

Caractère
Compréhensif - Observateur - Intelligent - Curieux - Sensible

Oryon reste un jeune homme tiraillé entre deux auras de gros gabarits, il est donc logique qu'il soit victime de son instabilité et qu'il le sera d'autant plus en vieillissant si personne ne lui montre le chemin. D'un naturel pourtant autonome, au caractère solide, que les choses peuvent blessé, mais jamais mettre à terre indéfini, il a une résistance à bien des humiliations et bien des rejets. En somme pour le détruire, il faut vraiment y aller fort. Et pourtant, on a vraiment pas l'impression qu'il est si fort. Sa carrure moyenne, ses manies furtives et ses habitudes de discrêtion ultime en font quelqu'un de difficile à fréquenter quotidiennement sauf si un lien spécial se crée, dans quel cas, vous verrez le gamin revenir loyalement au poste, par principe et respect. C'est une carotte fidèle et intelligente qui apprécie qu'on l'a sous estime, comme ça, elle n'a pas besoin de montrer encore plus que ce qu'il ne fait déjà, estimant que ça ne servait déjà à rien, ça ne va pas changer aujourd'hui. Il sait pourquoi de quoi il est capable, il sait qu'il est fort mais il a aussi honte de ne pas maitriser juste un peu les deux pouvoirs qu'on lui a cédé, à savoir l'hypnose et le contrôle de l'eau. Il sait parfaitement les codes des autres et qu'il est un bâtard, une erreur , une chimère mal foutue dont personne ne veut, mais il s'en moque , il a tout ce qu'il faut chez lui.

En fait non il ne s'en moque pas, ça lui fait mal, mais il préfère faire un choix, et ne pas se pourrir la vie outre mesure. Elle est déjà assez compliquée. Il a appris à vivre simplement, ne fait jamais de caprices et juge rarement, estimant que tout le monde a une vraie valeur peu importe la raison. Malin , rapide et calculateur, il est rare qu'il se trompe et c'est le roi de l'esquive et de la fuite. Un vrai petit polisson quand il était môme. Comme il disait: "Opération beignet fourré, mission infiltration dans les cuisines. Chhh... beignets récupérés, retour à la base..." et hop ni vu ni connu, il planquait ses trouvailles dans un placard de sa chambre et son regard innocent trompait facilement sa gouvernante. Comment ça, il le fait encore aujourd'hui? En fait oui, la moitié d'Oryon est resté comme avant, ce qui pourrait autant faire sourire que blaser mais c'est lui. Et quelque part, il faut s'estimer heureux, qu'après tout ce qu'il a subi, ce gosse soit sur ses deux pieds avec autant d'imagination et de détermination.

Par rapport aux autres, ce n'est pas ce qu'il fait de mieux... la communication. Il est méfiant, craintif, hésite au contact et est encore plus ingénu dans certains domaines même s'il connait les théories sexuelles etc. Sa gouvernante s'est donné un malin plaisir à glisser un livre douteux dans le tas pour lui apprendre. Dieu seul sait les yeux qu'il a fait en lisant. En fait, il se demande si c'est sa gouvernante ou bien Eva qui lui a joué un tour. Il ne l'a que rarement vu depuis son enfance. Parfois il recevait des paquets de sa gouvernante, qui ne voulait pas lui dire la provenance. C'est dommage, sa curiosité l'a toujours titillé la dessus.

Pour les domestiques et les esclaves, il les a aussi évité autant que possible, certains ignorant totalement son existence et il a toujours préféré éviter les grandes fêtes ou ce genre de choses, ou bien il faisait une brève apparition dans un coin pour ensuite disparaitre. Le feu follet des couloirs, voilà encore le nom qui revenait et revenait. Il dort pas mal la journée, la nuit étant plus aisée pour se balader un peu partout sans être bloqué par un cortège imprévu. Les cuisines aussi sont généralement vides, et les livres plus accessibles. A 18 ans, Oryon le jeune écrivain reste un doux rêveur et un aventurier qui aimerait allait plus loin dehors... sa mère était d'un lointain pays chaud après tout. Sa chambre en attendant une reconstitution entre du laboratoire de Leonard de Vinci. Vous savez ? Des piles de livres, des bouquins sur les murs, des étagères partout et des mobiles partout en hauteur. il y a même un petit moteur à vapeur qui marche avec la chaleur de la cheminée et réchauffe l'eau de la baignoire constamment. Tout chez Oryon est invention, imaginaire et autre monde. On lui a volait le sien, il s'en est fabriqué un. Il ne possède pas encore de télescope pour observer les étoiles mais se promet d'en obtenir un. Il peut rester des jours enfermés à bidouiller ses trucs, ses livres et autres sans sortir, et s'endormir aussi sous dix couverture la tête sur un livre, baver dessus et se réveiller tout encré, charmant n'est-ce pas? Et sa famille alors?
En fait il en a peur. Il sait parfaitement qu'il n'est qu'un microbe à coté d'eux , pourquoi l'aurait-il écarté sinon. Tant pis, il verra plus tard. Un jour peut-être le verront-ils enfin.

Un petit mètre 76 pour environ 65 kilos, voici tout l'impressionnant gabarit du dernier "adamovitch", alias le feu follet des couloirs. Peu l'ont réellement vu avant cette dernière année, où son âge d'autonomie laisse courir dans les couloirs qu'un petit nouveau, certes bâtard, existerait bien, attisant les curiosités. Mais est-ce si bénéfique? Il est vrai que bien qu'il abrite en lui deux auras de gros gabarits, non contrôlées qui plus est, il a un physique fragile au froid, et pas franchement le plus musclé du manoir. Sa peau aussi douce qu'une peau de bébé, car très fraiche comme le veut l'espèce du thérianthrope serpent, est aussi trés sensible à l'environnement du dehors, aussi si vous partez en quête du feu follet Adamovitch, cherchez du coté des zones de chaleurs, ou de nourriture. Il est généralement affublé de nombreux vêtements, certes de bonne qualité mais qui ne mettent pas en valeur sa silhouette et très honnêtement , c'est le cadet de ses soucis, la séduction n'étant pas une chose qu'il connait.

Mais si vous passez cette couche de tissus imposante et que vous baissez cette capuche sombre que vous avez vu filer le long d'un couloir, vous découvrirez une tignasse fourni aux couleurs de feu, souvent en pétard au réveil, les cheveux fins et doux. Sa peau marbrée aux reflets neigeux n'a d'égal que la pureté de son âme sur les sujets osés dont personne n'a peur mais que lui ignore. Son regard détonne violemment avec cet état puritain, brûlant, perçant, comme s'il vous lisait jusqu'aux tréfonds de votre âme, aussi calme qu'un ange. Ses iris sont vairons, jaunes et rouges et les couleurs semblent danser en leur antre, comme si les auras brûlaient d'envie de sortir au moindre faux pas. Et c'est là que vous sentez toute l'écrasante forme qui gronde en lui, sous cette apparence innocente. Sans croiser ce regard, on ne se doute pas une seule seconde, de ce qu'il peut abriter. Ce p'tit gars est un Adamovitch qui n'a aucune idée des forces qui le régissent. Pauvre gosse. Sa voix est généralement calme et moyennement grave mais quand il s'énerve, tout change. Ses traits s'étirent, sa voix se fait plus sèche et grave, et tout se détraque.... C'est très rarement arrivé, sa gouvernante étant là pour l’apaiser au plus vite. Il serait trés mal venu à un quelconque gros gabarit d'utiliser la naiveté de Oryon pour créer un énorme bordel dont il n'aurait même pas conscience, et il en pairait le prix ensuite , autant physiquement que mentalement. Il n'a pas de tatouage, pas de piercing. Le reste de son être est assez banal d'un jeune homme de son âge.

La Sibérie. Froide... Aux virtuoses de glaces qu'on appelle blizzards... entre deux hivers infernaux et des semblants d'été où les loups courent dehors... La steppe droite et infinie, où on pense que chaque butte de neige est un géant qui se tient à des kilomètres. Cet endroit où la rosée du matin est un champ de cristaux finissant amassés dans les buissons opaques et épineux... Et pourtant il y a quelque chose au milieu de tout ça. Quelque chose de grand, de lourd, d'indestructible que la Russie approuve, parce que la Russie c'est le Tsar, le reste on s'en fout. Nous étions en 1905, il y a donc sept ans de cela. Immense bâtisse à mille fenêtres, cent toits et autant de cheminées. Rien que la porte était une ode à la puissance et une menace pour tout être téméraire qui ne savait pas où il arrivait. Et en son antre, autant de couloirs que d'âmes, aux couleurs opposés au dehors... Passez votre main sur les murs pour sentir qu'ici, ce n'est pas vraiment comme dans le reste du monde... il y a des forces, des choses qu'on ne saurait expliquer avec un esprit rationnel. Le papier rugueux ou bien est-ce les pierres, les marches sous les semelles, les planchers grinçants, les grandes tapisseries et cette odeur russe qu'on retrouve parfois à Moscou dans les demeures gigantesques... l'opium peut-être... l'alcool... et les cris ou les rires, les pleurs ou les ronflements... Cet endroit vit aux battements de dizaines de cœurs. Des maitres, des domestiques, et des esclaves ... et une famille dominante, les Adamovitch. Ici, un être est humain d'apparence, et animal d'âme. Ici, la logique des primates de Darwin est erronée et on s'indigne d'avoir été mis sur le banc de touche par ces hommes singes qui pullulent comme des rats partout sur la terre. Ici... on est loin du monde, un monde qu'on a probablement rejeté. Un monde dont on ne veut pas, le pensant obsolète et indigne de soi... Ou juste parce qu'on a nulle ailleurs où aller ou qu'on ne peut plus en partir. Les raisons sont tellement nombreuses...

La famille dominante, les Adamovitch, vivent dans une aile particulièrement de ce manoir sans fin. Plusieurs couloirs , plusieurs étages et au fond de l'un d'eux, au dernier, là où l'éclairage est défectueux, des lampes à huile usagées que personne ne changent parce que cet endroit est peu habité et les chambres humides, on voit souvent une petite silhouette passée. Toute sombre, qui tel le vent, se faufile entre les piliers et dans les escaliers, échappant à la plupart des regards. Une habitude. Il n'est pas grand, son enfance n'a pas été vraiment ce qu'elle aurait du être , mais les enfants s'adaptent à tout. Pour lui, il avait à manger, il avait une gouvernante qui s'occupait bien de lui, et il avait tout un tas d'occupations, donc même s'il n'avait pas autant de notoriété que les autres, on lui avait appris que les choses étaient ainsi, il l'avait accepté. Lui? Qui était ce petit feu follet qui hantait l'aile des Adamovitch? Il s'appelait Oryon. Agé de pourtant douze ans, il en faisait moins. Peut-être dix, mais certains enfants mûrissent physiquement plus tard que d'autres. Souple, rapide, on le voyait à peine, tellement empreint des capacités de sa mère défunte. Pourquoi était-il transparent? Pourquoi le parquait-on dans cet endroit? Il n'était pas vraiment parqué, mais... on ne pardonne pas à une traitresse, pas Eva Adamovitch... La traitresse était la mère du môme, qui pourtant, lui, n'avait rien fait de mal... En plus d'être un bâtard, semi Beluga, semi Boa, Oryon avait deux parents infernaux qui n'avaient pas su se préoccuper de lui...Damndekhâ et Eva. Il avait été trop tôt seul, mais choyé par la gouvernante de sa mère qui était ensuite restée. Il s'était raccroché à cette femme... une thérianthrope ours de moyen gabarit. Une domestique mais pour Oryon, c'était surtout une vraie maman. Il passait sa vie, entre les endroits reculés autour du manoir, les lieux calmes et chauds, la bibliothèque et sa grande chambre, immense mais en pièce unique. La cheminée était son sanctuaire, il avait même tiré son lit devant. La domestique soupirait de devoir le replacer tous les matins, mais le serpent avait besoin de chaud... et de rêver.

Et officiellement que sait-on de ce garçon? En réalité, Oryon n'est qu'un accident... Deux femmes qui ne souviennent plus trop de ce qu'elles ont fait d'une soirée... Un gamin gardé au creux du bras d'une mère boa, qui vers l'âge de 5 ans, après une enfance banale comme petit noble au sein du manoir, a commencé à se détraquer et en public, devant trois ou quatre Adamovitch, heureusement sans qu'il y ait d'évènement sérieux. Il se mit à piquer une crise tant il était fatigué. Sa mère assista comme les autres à la moitié de son bras qui finit en écume, puis son pied, et le petit qui pleurait à plein bouillon. Dans les rangs présents on entendit une voix masculine: "Un bâtard...." et pas n'importe quel bâtard... Le père était un Adamovitch au vue du résultat. Damndekhâ croisa le regard de son amante du soir, mais ne reçut qu'un détournement d'yeux de sa part. Elle comprit qu'Eva avait déjà reconnu un enfant bâtard, et que deux ce serait trop probablement, alors on la changea d'appartement et sa condition de noble fut réduite quelque peu, son enfant étant une honte. Mais la femme ne s'arrêta pas là, et au grand damne de la gouvernante, Damndekhâ allait sans cesse d'orgie en beuverie en sortie et autres frasques et on aurait pu penser pendant bien deux trois ans, ne voyant plus l'enfant, qu'elle s'en était débarrassé. Puis Oryon devenant gourmand, curieux et débrouillard, commença à emprunter les passages de domestiques, à suivre en douce sa gouvernante, jusqu'aux cuisines. Ainsi une ombre commença à se balader dans les couloirs les plus sombres. Petit à petit, Oryon devint un as de l'infiltration et des cachettes. On ne voulait pas de lui, tant pis, il ferait autrement. Il se créerait son monde, avec ou sans sa mère, avec sans son père. Damndekhâ avait raconté à Oryon entre deux cuites disgracieuses que Eva, était son "père" et que c'était un dragon pervers et indigne qui se foutait bien de lui et de ce qu'elle avait engendré. Mais Oryon n'était pas fou non plus. Aucune des deux n'étaient nobles à son regard. Il n'avait été qu'un accident, et les deux semblaient d'accord là dessus. Son cœur d’enfant fut piétiné c'est vrai... Aujourd'hui, il a énormément de mal à considérer Eva comme une de ses génitrices. Il n'a rien à voir avec elle, ni avec sa mère et se révolterait presque de tout, tant il ne comprend pas comme deux adultes pouvaient être aussi égoïstes et irresponsables. Alors plutôt que de se confronter à toute cette bêtise, il préféra continuer de vivre comme il faisait avant. Entre ses livres, de la nourriture, irrémédiable gourmand qu'il était, et apprendre toujours plus sur tout.

Damndekhâ finit par dilapider sa fortune dans ses frasques et autres stupidités... Et quand elle n'eut plus rien, pas même de quoi retourner au pays, elle fit une chose impensable... La belle métisse aux allures tribales et aux cheveux roux alla s'enquérir d'Eva pour la courtiser de nouveau et lui soutirer par ce biais quelconque fortune. Quelle abrutie. Et quand elle ne se prit qu'un revers pour son arrogance, après avoir en plus oser penser qu'elle pourrait faire le poids contre une Adamovitch, elle haussa le ton et la menaça de dévoiler qui était le "père" d'Oryon et que si elle ne cédait pas au chantage... c'était fini.

Ce fut sa dernière erreur. Oryon était à dix mille lieux de tout ça. On ne sait ce qui se passa, si cela vint d'Eva ou d'un autre membre, ou même d'un ennemi extérieur aux Adamovitch... Mais Damndekhâ ne fut jamais retrouvée. Oryon était à présent seul avec la gouvernante qui avait un mauvais pressentiment. Un jour, peu de temps après, alors qu'Oryon était encore trop petit pour comprendre bien qu'il connaissait déjà cette histoire d'écumes quand il perdait le contrôle, ils furent convoqués tous les deux... Au vu du fait que l'enfant était apparemment un bâtard Adamovitch, qu'on en ignorait le père, et que la mère était à présent noté comme décédée sur le registre du manoir, l'enfant ferait à présent indirectement parti de la famille. En somme, il pourrait habiter les lieux mais devrait se faire très discret. Il aurait aussi les droits d'un Adamovitch, mais ne devrait en aucun cas causer de troubles sous peine de subir de sévères corrections. Il serait à la charge de la gouvernante actuelle jusqu'à ses dix huit ans, âge auquel, il devra être autonome et sera responsable de ses actes. La famille veillera à ce qu'il ne manque de rien, mais cela uniquement s'il respecte ce contrat qu'implique le statut particulier de bâtard tel qu'il l'était. D'autant qu'il abritait deux gros gabarits: un béluga et un boa constrictor imperator. Il ne fallait pas que ce gamin puisse exploser toute sa puissance endormie en publique, c'était absolument inconcevable. Et au lieu de lui apprendre à maitriser tout ça pour en faire un gosse fidèle à la famille, on le classa dans les bâtards dangereux, rayon fond du couloir, pas de retour... Sa mère n'avait pas non plus laissé un bon gout dans la bouche des Adamovitch... si ce gamin était aussi de la graine de traitre, autant ne pas s'en affubler de trop.

Les dès étaient jetés. Même si pour le petit Oryon, ça ne changeait pas grand chose. La situation était même plutôt simple. Il était dans son nid, avec le droit de vagabonder si on ne le voyait pas, il pouvait lire et partir à l'aventure quand il voulait et il avait sa maman, une fausse vraie maman, mais c'était déjà ça, et elle ressemblait à une grosse russe aux seins aussi gros de son ventre, mais elle était sincère quand elle le réconfortait. Elle avait su lui expliquer la situation. Il ne comprit sa sensibilité au froid que lorsqu'il tarda trop et que la gouvernante le retrouva inconscient dans la neige et la ramena au chaud. Malheureusement les pouvoirs que renfermaient le petit rouquin n'étaient pas anodins et elle était mal placée pour pouvoir l'aider la dessus... L'adolescence du jeune commença à détraquer ses hormones et donc ses humeurs... Et il lui arriva bon nombre de mésaventures mais ceci est une autre histoire. Aucune d'entre elles ne fut assez grave pour lui causer de gros problèmes. Avec le temps, il devint ermite, un peu torturé par la prise de conscience de beaucoup de choses, poker face à cause de ses auras qui le martyrisent aléatoirement, mais il reste néanmoins un jeune homme compréhensif et qui aime la vie. On aurait pu le croire dépressif ou totalement cinglé, mais pour quoi faire. Il a su au milieu de ces rejets et de ce chaos à son égard, créer un monde bien à lui. Il a déjà envoyé deux manuscrits de livres à la capitale par le biais d'un ami domestique, et attend les réponses sous peu. Sa vision du monde, bien qu'il ait peu voyagé est riche et il est autant doué en stratégie qu'en économie ou encore en diplomatie. Au delà de cette carrure douteuse , frêle oiseau en Sibérie, son cerveau n'a à envier personne.  Il aurait beaucoup à offrir aux Adamovitch, même aux autres nobles, mais personne ne lui a jusque là laissé sa chance.

Quel est ton p'tit pseudo ?Oryon!
Quel âge as-tu ?30 ans
Comment nous as-tu trouvé ? Je sais plus, vous étiez dans mes favoris
Changerais-tu quelque chose ? Le rose des esclaves ? XD
Quel est le code du règlement ? Code validé chéri. ~
Là tout de suite plutôt fraise ou banane ? Fraise!