Lorian Kalinine

Feat : L – Death note

Nom ; Kalinine Prénom ; Lorian (se prononce « Loriane ») Surnoms ; Lo Âge ; 19 ans Date de naissance ; 31 octobre 1892 Sexe ; Masculin Origines ; Russe Groupe ; Esclave Rang ; Plutôt docile Orientation sexuelle ; Nord-Ouest. Xd Ça me passe un peu dessus. Race ; Canidé. Dhole. Petit gabarit.

Caractère
Artiste, Épileptique, Naïf, Rêveur, Incompréhensible.

Je suis quelqu’un de joyeux, qui aime rire. Toujours positif, je ne vois que le bon côté des choses. Je ne vois jamais le mal nulle part. Au contraire, pour moi, tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil. D'ailleurs, détestant les conflits, je préfère les éviter plutôt que de les affronter. J'ai tendance à fuir face à une situation tendue, quitte à passer pour un lâche. Cela fait de moi sans doute quelqu’un de naïf à ne voir la vie que d’une seule manière. Mais que voulez-vous, je suis une personne simple. Peu de choses suffisent à me rendre heureux. Je prends du plaisir en regardant les nuages allongé dans l’herbe ou en écoutant la pluie tomber. J’aime la nature, flâner, rêvasser, me promener pieds nus et le ciel étoilé au-dessus de ma tête. J’ai lu quelques livres là-dessus et je rêve de pouvoir toucher les étoiles. En tenir une entre mes mains ou sauter de nuages en nuages. Eternel rêveur, mon esprit s’évade avec une grande aisance de mon carcan de chair. Ou bien est-ce à cause de ce que j’ai subi à l’hôpital ?... Depuis mon séjour dans cet endroit, j’ai pris de la distance par rapport à mon corps. J’arrive à faire abstraction plus facilement de mes souffrances physiques.

Je suis aussi un être doté d’une sensibilité particulière. C’est pour quoi, je suis doué pour le dessin. Je ne suis pas quelqu’un de prétentieux, contrairement aux apparences, je ne fais que répéter ce qu’on me dit. Mais le génie et la folie ne sont-elles pas les faces d'une même pièce?

Malgré le fait que j’ai été à l’école, mais je ne suis pas très intelligent. J'au un vocabulaire des plus basique. Je suis un peu bêbête, niais, comme on dit ou que je raconte des choses incompréhensibles. Moi, je me comprends, alors c’est le principal.

Mon péché mignon, c’est la gourmandise. Bonbons, gâteaux, crème chantilly… Mais comment résister à ces douceurs sucrées ?

Je suis plutôt de taille moyenne. Mesurant 1,75m et pesant à peine 60 kg, je suis un véritable poids plume. Je mange à ma faim pourtant. Ça doit être dans ma nature. Je me suis pas musclé, je ne pratique pas de sport. J'ai horreur de ça. Rien que l’idée d’agiter mon corps dans tous les sens me fatigue déjà.

Mes cheveux sont toujours en bataille. Je ne les coiffe pas et préfère les laisser indisciplinés. Ils sont noirs comme l’ébène.

Quant à ma peau, elle est d'un blanc laiteux. Elle contraste avec mes cheveux mais cela reste très harmonieux. Je n'ai absolument pas un teint de "cadavre". Ça doit certainement être dû à mes traits fins. En effet, j’ai de grands yeux d’un noir intense, parfois cernés malgré le fait que je dorme beaucoup. Je possède un petit nez mutin, ainsi qu’une bouche bien dessinée, aux lèvres charnues et gourmandes.

J'ai un visage assez expressif. Mes émotions se reflètent sur son visage que ce soit par des mimiques ou par des couleurs. Je rougis assez vite. On lit en moi comme dans un livre ouvert. J'essaie pourtant de corriger ça, mais ce n'est pas gagné.

J’ai quelques défauts. Pour commencer un tique, me gratter derrières les oreilles. Ensuite, je ne mange pas très proprement. En général, j'en ai plein les mains, sur les joues, le tee-shirt, sur la nappe... Quand aux miettes, n'en parlons même pas, on en retrouve partout autour de moi, dans le canapé et même dans le lit.  

Vestimentairement parlant, je porte des vêtements larges, trop grands pour moi. En général, mes tee-shirts finissement toujours par dévoiler mes épaules. Quand à mes pantalons, larges eux aussi, ils glissent souvent de mes hanches. Il faut dire que je ne fais pas très attention à mon apparence. Je m’habille plus pour ne pas être nu que pour me mettre en valeur.

J’ai vu le jour, à Khimki, dans la banlieue nord de Moscou. Ma mère mouru en me mettant au monde à cause de complications. Papa m’a expliqué mais je n’ai pas tout compris. Enfin, au fin de compte, ce n’est pas très important. J’avais perdu ma mère, mais il me restait mon père. Celui-ci s’occupait très bien de moi malgré son travail prenant. Il était dans les affaires…. Là encore il a tenté de m’expliquer ce qu’il faisait, mais je n’ai pas compris. En fait, je décroche assez vite quand le sujet devient trop sérieux. A l’école, on disait souvent de moi que j’étais “l’idiot du village”, parce que j’étais distrait et lent. Moi, je n’avais pas spécialement l’impression d’avoir plus de mal que les autres. Enfin, tout ceci ne me touchait pas vraiment. J’étais souvent seul, mais je préférais. Ainsi je pouvais aisément laissé mon esprit vagabonder à sa guise. Je pouvais passer des heures assis dans l’herbe à regarder les nuages ou à dessiner. J’aimais beaucoup ça. Et dès que je faisais un nouveau dessin, je m’empressais de le montrer à mon papa qui ne manquait jamais de me féliciter. Bref, tout se passa pour le mieux, entouré de l’amour et l’attention de mon père.

Ou presque. Il m’arrivait d’avoir des absences. Je me réveillais allongé sur le sol du salon, me demandant ce qui n’était arrivé. J’étais confus et j’avais mal partout. Mon papa m’emmena chez le médecin et on me diagnostiqua épileptique. Alors je faisais des crises d’épilepsie… C’était assez effrayant quand j’écoutais le docteur en parler. Il disait que je devais aller dans un institut spécialisé, chose que mon papa refusa catégoriquement. Aussi, il me ramena à la maison.

Cependant les crises ne s’arrêtèrent pas. Et je tombais n’importe où. Une fois, dans ma chute, je me cognais la tête dans une table. Au final, mon papa dû se résoudre à me faire interner car il y avait un risque pour ma vie.

A l’âge de quinze ans, je fus conduis dans l’hôpital psychiatrique de Moscou. Je n’avais pas peur car on n’avait assuré qu’on s’occuperait bien de moi. Je trouvais l’endroit assez froid, voir glauque. Les autres patients étaient effrayants, ma chambre aussi. Il y avait un parc mais je n’avais pas le droit de me promener en toute liberté, comme je le souhaitais. On contrôlait tous mes mouvements. Je me sentais à l’étroit mais si ça pouvait me guérir alors je n’allais pas faire le difficile. D’autant que tous les soins et la chambre coûtaient chers à mon papa.

Et les soins ont commencé. Saignés, purgations, hydrothérapie, électrochocs…. Tout ceci était difficilement supportable. Heureusement, à côté, on me donnait des médicaments qui m’aidaient à ne plus rien ressentir. D’ailleurs, ça fonctionnait tellement bien que je n’avais des fois plus conscience de qui j’étais ni de l’endroit où j’étais. Complètement déconnecté de la réalité, j’en venais parfois à délirer. Puis, de nouveaux traitements furent mis en place, comme l’hypnose. Je ne sais pas vraiment si ça marchait, mais au moins c’était plus doux.

En parlant de douceur, d’ailleurs, le meilleur souvenir que j’ai de mon séjour, fut Inger. C’était un infirmier, avec un accent étranger. Je n’ai jamais osé lui demander d’où il venait. Peut-être d’un pays nordique avec ses yeux bleus acier et ses mèches blondes. Il était toujours très gentil avec moi. Il m’apportait un carnet et des crayons pour que je dessine pendant mes sorties. Je l’aimais beaucoup. Je ne sais pas si j’étais amoureux mais j’avais toujours le cœur qui s’emballait quand il me touchait.

Un jour, c’était à l’automne 1911, peu de temps avant mon anniversaire, on m’annonçait qu’on ne pouvait plus me garder car mon père ne pouvait plus payer mes soins. Je rentrais chez moi, dans notre maison à Khimki et retrouvais mon père prostré dans un coin. C’était la première fois que je le voyais ainsi. Il avait l’air si faible, complètement abattu. J’avançais vers lui, inquiet mais des bras se saisir de moi. J’essayais de me débattre mais ce fut sans succès, évidemment vu ma constitution faible. Je criais et pleurais. Je suppliais mon père de m’aider mais il ne bougea pas le petit doigt. Alors qu’on n’emmener de force, j’entendais un « désolé » au loin.

Après des jours de voyages, on me conduisit dans un manoir, perdu au beau milieu de rien. On m’expliqua rapidement que mon père avait fait de mauvais placements, s’étaient endetté et que c’était à moi de rembourser. Quand je demandais comment, je n’eus droit qu’à un sourire carnassier et un rire à glacer le sang. Bon, de toute façon, ça ne pouvait pas être pire que l’hôpital, n’est-ce pas ?

Quel est ton p'tit pseudo ? Lo ou Lorian. Xd
Quel âge as-tu ? Heu… Beaucoup trop. =.=’
Comment nous as-tu trouvé ? Par Ambry. 
Changerais-tu quelque chose ? Ma voisine qui est prof de piano. =.=’
Quel est le code du règlement ? On dirait une épinglette !
Là tout de suite plutôt fraise ou banane ? Fraise à la banane.